De la naïveté bien engluée, voilà le résumé.

vendredi 26 mars 2010

Ténor (encore), c'est un homme.


C'est une voix qui hurle à l'espoir et un corps qui appel à l'aide. Des mots qui vous écrasent dans toute leur puissance, et une vérité qui vous met dans sa poche, parce qu'elle est belle. Juste belle et pleine de sens. JUSTE.
Ténor est un poète aussi, qui vous embrase par la splendeur de sa plume et celle de son regard pour le Monde. Infini et fouetté par le vent (qui lutte pour découvrir encore, toujours).

Ténor est un orfèvre des mots, de l'impalpable
mais une BRUTE de la réalité.

Un façonneur et tueur de beauté.
Même Elle, il l'a tué.


Un visage, une figure, abattue et trompée.

3 commentaires :

  1. Ta Comparse. a dit…

    Je sais que je n'ai pas du tout à, mais mince.
    J'y reconnais une autre réalité, un autre Ténor. Un autre "orfèvre des mots, de l'impalpable
    mais une BRUTE de la réalité."
    Un autre Poète certain, "qui vous embrase par la splendeur de sa plume et celle de son regard pour le Monde. Infini et fouetté par le vent."
    Une autre "voix qui hurle à l'espoir" et un autre "corps qui appel à l'aide."

    Et une autre tuée. Silencieux a frappé, de beauté certes, de l'espoir qui brille, Silencieux a frappé et j'ai gardé la balle, comme pour le pire, la petite peur qui croit en son ombre.

  2. . a dit…

    Agnès!
    Est-ce que j'ai manqué un épisode?
    J'arrive plus a suivre tes articles, j'ai perdu ton adresse, ou c'est elle qui s'est enfuie.
    "Garder la balle", qu'est-ce qu'il se passe?
    (bisous! =)

  3. Ta Comparse. a dit…

    [elle s'est enfuie, je t'envoie ça tout d'suite via mail.]

    Tu as loupé le dernier épisode, en quelques sortes. Celui des choses qui ne viennent pas, celui de l'immobilité et tout ce qu'elle apporte de doutes.

    ["Garder la balle". Se laisser atteindre.]

    Et pourtant, j'peux pas m'empêcher de. C'est là toute la beauté, et tout le malheur.
    "Vivre d'espoir, l'espoir fait vivre".
    [foutus G-B]

Vous non plus, ne cherchez pas à comprendre. Ce ne sont que des brides, des restes à moitié consommés, recyclés en fonds de tiroirs, pour le simple confort d'une conscience encombrée.